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Ailanthe, l'hydre végétale
Date 20/08/2015
Ico Grand banditisme (invasives)

Ailanthus altissima, Ailanthe Faux-vernis du Japon, Vouillé (86)

Feuille imparipennée de l'Ailanthe Faux-vernis du Japon


Ailanthus altissima (Ailanthe ou Faux-vernis du japon) appartient à la petite famille d'arbres et de plantes tropicales Simaroubaceae. Ce spécimen nous permet d'ouvrir une nouvelle catégorie sur Sauvages du Poitou, celle du «Grand banditisme». Ici, pas de casses de banques, mais quelques végétaux suffisamment invasifs pour engendrer des inquiétudes environnementales à l'échelle locale (à tort ou à raison). Avec Ailanthus altissima, c'est surtout les chefs de trains qui s'inquiètent, tant la hors-la-loi prolifère le long des lignes de chemin de fer!


Ailanthus altissima, Ailanthe Faux-vernis du Japon, Poitiers Mérigotte

Forêt squelettique d'Ailanthe Faux-vernis du Japon en hiver, Poitiers Mérigotte


Ailanthus altissima est un arbre originaire de Chine, à croissance rapide. Son nom vient de l'expression chinoise Ailanto, «Arbre du paradis». Le végétal ne le doit pas à sa grandeur (en moyenne 15m de hauteur à maturité), mais à sa promptitude à monter au ciel (il peut atteindre sa taille adulte en moins de 25 ans). Dans les grandes villes chinoises, on lui donne également le sobriquet moins sympathique de Chouchun, soit le «Printemps puant»! Il est vrai que les feuilles et les fleurs mâles (l'arbre est dioïque) dégagent une odeur plutôt désagréable...


Ailanthus altissima, Ailanthe Faux-vernis du Japon, Poitiers Mérigotte

Jeune feuille alternes, composée pennée de l'Ailanthe Faux-vernis du Japon


Importé en occident pour «enchinoiser» les jardins, Ailanthus altissima a su se faire apprécier pour son allure et sa culture aisée, tout particulièrement au cœur des cités et des zones industrielles. Car l'arbre est un dur à cuire: il ne craint ni la sécheresse, ni les pollutions comme le dioxyde de soufre, la poussière de ciment, les fumées, l'ozone, le mercure... La SNCF, ou plutôt les compagnies qui l'ont précédée, y ont vu un excellent moyen de verdir les abords misérables des voies ferrées, tout en consolidant les talus qui les longent grâce à ses puissantes racines.


Ailanthus altissima, Ailanthe Faux-vernis du Japon, Poitiers Mérigotte

Ailanthe Faux-vernis-du-Japon: attention danger?

Chéri. J’ai quelque chose à te dire... il y a une famille de chinois dans notre salle de bains.

(500 jours ensemble, Marc Webb)

Et c'est là que la nature échappe au bon vouloir de l'homme... La formidable adaptation d'Ailanthus altissima aux milieux pollués, où la concurrence végétale est forcément réduite à peau de chagrin, combinée à sa croissance rapide, l'on promu sur la liste rouge des invasives dans de nombreux pays (Danemark,  Hongrie, Suisse,  Espagne,  Canada  et  USA; en France, on s'en méfie plus ou moins selon les régions). De plus, Ailanthus altissima affiche une efficacité insolente dans ses modes de reproduction: véritable usine à graines (celles ci sont dispersées par le vent), l'arbre est capable de propager de nombreux rejets ou de se cloner depuis un fragment de racine (reproduction végétative). Fauché à la base du tronc, il drageonne et repart de plus belle, se multipliant, telle une hydre!


Ailanthus altissima, Sauvages du Poitou


Ailanthus altissima, Ailanthe Faux-vernis du Japon, Poitiers quartier gare

Samares de l'Ailanthe Faux-vernis-du-Japon, Poitiers quartier gare


Ailanthus altissima peut se montrer très pénible dans les jardins particuliers. Sa prolifération spectaculaire en milieu citadin devrait surtout nous inciter à nous inquiéter sur le triste état des sols, d'avantage que sur le Sauvageon lui-même: Ailanthus altissima pousse souvent là où rien ne pousse, à l’exception d'autres gangsters increvables comme la Renouée du Japon, le Robinier faux-accacia ou le Buddleia de David...


Ailanthus altissima, Ailanthe Faux-vernis du Japon, Poitiers bords de Clain

Petits bourgeons hémisphériques et cicatrices foliaires en forme de cœur de l'Ailanthe Faux-vernis du Japon.


Et dans la mesure où les villes restent souvent des lieux peu propices à une végétation diversifiée, reconnaissons au moins une qualité à Ailanthus altissima: une enquête récente («Les pieds d'arbre en ville», par Vigie Nature) portant sur la biodiversité au pieds des arbres citadins montre que Ailanthus altissima n'est pas le plus hostile lorsqu'il s'agit de cohabiter avec les autres Sauvages. C'est même à son pied, et au pied du Platane (Platanus hispanica), que l'on trouve le plus grand nombre d’espèces spontanées.


Les chinois d'hier et d'aujourd'hui utilisent leur «Arbre du paradis» pour fabriquer bon nombre de pharmacopées médicales traditionnelles. La toxicité de la Sauvage (feuilles et écorces peuvent donner des irritations allergiques) nous incite cependant à couper court et à en déconseiller tout usage, interne ou externe.


Ailanthus altissima, Ailanthe Faux-vernis du Japon, Poitiers bords de Clain

Ailanthe Faux-vernis du Japon dans la force de l'âge.


Les interactions entre Ailanthus altissima et l'homme à travers l'histoire sont remarquables, qu'elles soient volontaires, accidentelles, amicales ou conflictuelles. Le rôle que l'arbre a joué dans l'industrie textile en est une illustration: l'arbre est la plante hôte des chenilles du Bombyx de l'Ailanthe (Samia cynthia). Les cocons de ces dernier permettent de confectionner une soie meilleure marché (bien que plus grossière) que la soie véritable (celle des Bombyx du mûrier, Bombyx mori). Des colonies d'Ailanthus altissima furent ainsi installées dans les Cévennes au 19ème siècle pour accueillir sur notre territoire le Bombyx de l'Ailanthe et remplacer les célèbres vers à soie, alors ravagés par la maladie. L'industrie ne remporta pas un franc succès, les européens préférant la finesse et la brillance de la véritable soie. Subsistent aujourd'hui au cœur des Cévennes, à l'heure des tissus de synthèse, de vastes colonies d'Ailanthus altissima.


Quant à son papillon exotique, le Bombyx de l'Ailanthe, il vole encore ici et là. Il y a cependant peu de chances de le croiser dans le Poitou: les derniers spécimens observés en France se cantonnent autour de Paris, dans les régions bordelaise et alsacienne.


Pour aller plus loin:

- Ailanthus altissima sur Tela-botanica

 

Cerfeuil des bois, l'usual suspect
Date 31/05/2015
Ico Haies & forêts

Anthriscus sylvestris, Cerfeuil des bois, Poitiers bords de Boivre (86)

Cerfeuil des bois, Poitiers bords de Boivre (86)


Anthriscus sylvestris (Cerfeuil des bois) appartient à la famille Apiaceae, appelée aussi Ombellifères, à cause de leurs inflorescences rayonnantes en forme d'ombrelle (on parle plutôt d'«ombelle» en botanique) des membres de ce groupe. Les Ombellifères offrent un défi de taille pour l'apprenti botaniste: un coup d’œil trop superficiel ne permet pas de les différencier; l'erreur n'est pourtant pas permise, car leur fratrie compte quelques Sauvages mortelles, dont la célèbre Conium maculatum, alias Grande ciguë.

- Comment vont les jumelles?
- Triplées.
- Triplées? Comme le temps passe vite!
(Brazil, Terry Gilliam)

Anthriscus sylvestris, Cerfeuil des bois, Poitiers bords de Boivre

Ombelle d'ombellules du Cerfeuil des bois, Poitiers bords de Boivre


Commençons donc par identifier quelques éléments qui distinguent Anthriscus sylvestris de ses consœurs: les feuilles  — légèrement odorantes au froissement  — sont très divisées. La tige est coriace, creuse et présente une section anguleuse. Tige et feuilles sont poilues à la base de la plante, mais glabres en hauteur.


Anthriscus sylvestris, Cerfeuil des bois, Poitiers bords de Boivre

Feuilles inodores du Cerfeuil des bois: alternes, tripennatiséquées, avec une base engainante.


Les fruits (des diakènes) sont aussi caractéristiques: allongés, cylindriques et lisses.


Anthriscus sylvestris, Cerfeuil des bois, Poitiers bords de Boivre

Diakènes du Cerfeuil des bois,

Poitiers bords de Boivre


Anthriscus sylvestris est vivace (annuelle ou bisannuelle dans des conditions moins favorables) et pousse (parfois à plus de 1m de hauteur) sur les sols de type forestiers, riches en matière organique végétale. Son feuillage apparait dès l'hiver sur les bords des chemins, puis ses fleurs à partir d'avril (c'est aussi un bon indice pour la reconnaitre: c'est bien souvent la première Ombellifère qu'on croise dans l'année). Les colonies peuvent être importantes, son couvert haut et précoce freinant considérablement la concurrence reléguée à l'ombre; ses nombreuses semences assurent sa large expansion.


Anthriscus sylvestris, Sauvages du Poitou!


Anthriscus sylvestris, Cerfeuil des bois, Béceleuf (crédit photo: Olivier Degorce)

Sortie botanique et cuisine avec Sauvages du Poitou et Amandine Geers au milieu des allées de Cerfeuil des bois: à la rencontre des Sauvages comestibles et toxiques! (Béceleuf, printemps 2017)


Voilà qui risque d'en étonner quelques uns: les jeunes feuilles d'Anthriscus sylvestris sont comestibles, consommées au Japon en soupe (attention, la racine en revanche est toxique, autrefois utilisée comme un abortif). Anthriscus sylvestris n'est que le proche parent sauvage d'une Ombellifère cultivée par l'homme: le Cerfeuil commun (Anthriscus cerefolium).


Anthriscus cerefolium, Cerfeuil commun, Poitiers bords de Boivre

Le Cerfeuil commun et ses petites feuilles bipennatisequées très parfumées


Anthriscus sylvestris est pourtant souvent présenté comme étant toxique, mais c'est là un bon principe de précaution: faute d'expertise, il convient d'adopter l'abstinence alimentaire avec les Ombellifères sauvages qui cachent dans leurs rangs quelques membres peu dissemblables des autres, mais pourtant mortels.


Anthriscus sylvestris, Cerfeuil des bois, Poitiers bords de Boivre

Racine (toxique) du Cerfeuil des bois, Poitiers bords de Boivre

C'est peut être avec Chaerophyllum temulum (Chérophylle penché ou Cerfeuil penché) que le risque de confusion est le plus grand. Ce dernier est toxique; il présente une allure et des feuilles quasi similaires, mais des ombelles penchées avant floraison et une tige pleine a section ronde, poilue de bas en haut.

Anthriscus sylvestris (g) et Chaerophyllum temulum (d)

Feuille du Cerfeuil des bois (dessus à gauche) et feuille du Cerfeuil penché (dessous à droite)


Pour aller plus loin:

- Anthriscus sylvestris sur Tela-botanica

- Antrhiscus sylvetris : identification assistée par ordinateur

- Chaerophyllum temulum sur Tela-botanica

- Anthriscus cerefolium sur Tela-botanica


Anthriscus sylvestris, Cerfeuil des bois, Poitiers bords de Boivre

Fleurs du Cerfeuil des bois: 5 pétales (une constante chez les Apiaceae), légèrement inégaux à la périphérie des ombelles.


Liparus coronatus sur Anthriscus sylvestris, Enssoulesse 86

Le Charançon couronné (Liparus coronatus), grand amateur d'Ombellifères, grignote les réserves bien fournies de Cerfeuil des bois au printemps.

 

Retrouver une Sauvage par l'image
Date 02/01/1000
Ico Retrouver une Sauvage par l'image

Sauvages aux fleurs blanches ou rose pâle:


Ornithogallum umbellatum, Dame d'onze heures Asphodelus albus, Asphodèle blanc Saponaria officinalis, Saponaire officinale Stellaria holostea, Stellaire holostée Stellaria media, Mouron des oiseaux Cardamine pratensis, Cardamine des prés Clematis vitalba, Clématite vigne-blanche Anemone nemorosa, Anemone sylvie Filipendula ulmaria, Reine-des-prés Circaea lutetiana, Circée de Paris Convolvulus arvensis, Liseron des champs Silene latifolia, Compagnon blanc Allium ursinum, Ail des ours Solanum nigrum, Morelle noire Datura stramonium, Datura officinal Lamium album, Lamier blanc Melissa officinalis, Mélisse officinale Clinopodium nepeta, Calament glanduleux Lycopus europaeus, Lycope d'Europe Bellis perennis, Pâquerette Eupatorium cannabinum, Eupatoire à feuilles de chanvre Reynoutria japonica, Renouée du Japon Petasites pyrenaicus, Pétasite odorant Centranthus ruber, Centranthe rouge Valeriana officinalis, Valériane officinale Alliaria petiolata, Alliaire Draba verna, Drave de printemps Saxifraga tridactylites, Saxifrage à trois doigts Heliotropium europaeum, Héliotrope d'Europe Lathraea squamaria, Lathrée écailleuse Achillea millefolium, Achillée millefeuille Daucus carota, Carotte sauvage Heracleum sphondylium, Grande berce Anthtriscus sylvestris, Cerfeuil des bois


Sauvages aux fleurs rose foncé, mauves, violettes, pourpres ou rouges:


Lunaria annua, Lunaire annuelle Malva sylvestris, Grande mauve Buddleja davidii, Arbre aux papillons Cyclamen hederifolium, Cyclamen à feuille de Lierre Cymbalaria muralis, Ruine de Rome Silene dioica, Compagnon rouge Rosmarinus officinalis, Romarin officinal Origanum vulgare, Origan commun Clinopodium vulgaris, Sariette Commune Lamium purpureum, Lamier pourpre Galeopsis tetrahit, Ortie royale Glechoma hederacea, Lierre terrestre Lythrum salicaria, Salicaire commune Trifolium pratense, Trèfle des prés Geranium robertianum, Herbe à Robert Geranium molle, Géranium à feuilles molles Erodium cicutarium, Érodium à feuilles de ciguë Centranthus ruber, Centranthe rouge Dipsacus fullonum, Cardère sauvage Verbena officinalis, Verveine officinale Muscari comosum, Muscari à toupet Fritillaria meleagris, Fritillaire pintade Anagllis arvensis, Mouron rouge Amorpha fruticosa, Amorphe buissonnante Vicia cultiva, Vesce cultivée Lychnis flos-cuculi, Lychnis fleur de coucou Himantoglossum hircinum, Orchis bouc Melampyrum arvense, Mélampyre des champs Coquelicot, Papaver Rhoeas


Sauvages aux fleurs jaunes ou oranges:


Taraxacum officinale, Pissenlit Helminthotheca echioides, Picride fausse vipérine Picris hieracioide, Picride éperviaire Sonchus oleraceus, Laiteron potager Hypochaeris radicata, Porcelle enracinée Lactuca serriola, Laitue scariole Lapsana communis, Lampsane Jacobaea vulgaris, Herbe de Saint Jacques Senecio vulgaris, Seneçon commun Symphytum officinale, Grande Consoude Caltha palustris, Populage des marais Ranunculus ficaria, Ficaire Ranunculus repens, Ficaire Ranunculus sceleratus, Renoncule scélérate Eyrysimum cheiri, Giroflée des murailles Medicago arabica, Luzerne tachetée Hippocrepis comosa, Fer-à-cheval Hypericum perforatum, Millepertuis perforé Oxalis corniculata, Oxalis corniculé Primula vulgaris, Primevère acaule Chelidonium majus, Grande Chélidoine Eschscholzia californica, Pavot de Californie Geum urbanum, Benoite urbaine Agrimonia eupatoria, Aigremoine eupatoire Iris pseudacorus, Iris des marais Ruta graveolens, Rue odorante Lamium galeobdolon, Lamier jaune Melampyrum pratense, Mélampyre des prés


Sauvages aux fleurs bleues:


Borago officinalis, Bourrache officinale Pentaglottis sempervirens, Buglosse toujours vertes Myosotis arvensis, Myosotis des champs Echium vulgare, Vipérine commune Cichorium intybus, Chicorée amère Salvia pratensis, Sauge des champs Vinca minor, Petite Pervenche Lysimachia foemina, Mouron femelle Veronica persica, Véronique de Perse Hyacinthoides non-scripta, Jacinthe des bois


Sauvages aux fleurs vertes:


Bryonia dioica, Bryone dioïque Ornithogalum pyrenaicum, Ornithogale des Pyrénées Helleborus foetidus, Hellebore fétide Arum italicum, Gouet d'Italie Hedera helix, Lierre grimpant Rubia peregrina, Garance voyageuse


Sauvages aux fleurs minuscules ou peu visibles:


Amaranthus deflexus, Amaranthe couchée Amarantthus retroflexus, Amaranthe réfléchie Amaranthus hybridus, Amaranthe hybride Sanguisorba minor, Petite Pimprenelle Plantago major, Grand Plantain Plantago lanceolata, Plantain lancéolé Mercurialis annua, Mercuriale annuelle Parietaria judaica, Pariétaire de Judée Polygonum aviculare, Renouée des oiseaux Euphorbia peplus, Euphorbe des jardins Eryngium campestre, Panicaut champêtre Dactylis glomerata, Dactyle aggloméré Poa annua, Pâturin annuel


Sauvages aux feuilles caractéristiques:


Urtica dioica, Grande Ortie Hedera helix, Lierre terrestre Medicago arabica, Luzerne tachetée Cardamine hirsuta, Cardamine hérissée Arabidopsis thaliana, Arabette des dames Galium aparine, Gaillet gratteron Oxalis corniculata, Oxalis corniculé Petasites pyrenaicus, Pétasite odorant Arum italicum, Gouet d'Italie Convolvulus arvensis, Liseron des champs Portulaca oleracea, Pourpier

Sauvages aux fruits caractéristiques:


Lunaria annua, Lunaire annuelle Clematis vitalba, Clématite vigne-blanche Taraxacum officinale, Pissenlit Arum italicum, Gouet d'Italie Hedera helix, Lierre terrestre Ruscus aculeatus, Fragon Microthlaspi Perfoliatum, Tabouret perfolié Datura stramonium, Datura officinal


Arbres (par les feuilles):


Ailanthus altissima, Ailanthe


Fougères (présence de spores sous les frondes):


Asplenium ceterach, Ceterach Asplenium trichomanes, Capillaire des murailles Asplenium scolopendrium, Scolopendre Asplenium rutamuraria, Rue des murailles

 


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